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La semaine de l’immobilier: 2ème partie : Des taux d’intérêt qui avoisinent les 5%
La semaine de l’immobilier
C’est le thème des articles de cette semaine. Une grande partie du chiffre d’affaire de beaucoup de diagnostiqueurs dépend directement de la santé de ce secteur. Après des éléments de réflexions sur la situation actuelle, c’est sur le sujet du financement que nous allons nous attarder. Les éléments ayant servis à la rédaction des billets sur ce thème sont issus de la situation actuelle alsacienne. Si dans votre région il vous semble que le contexte est différent, n’hésitez pas à nous en faire part en cliquant sur le nouveau lien en bas de cette page.
2ème partie : Des taux d’intérêt qui avoisinent les 5%
Après une hausse de 2 points en 18 mois, les taux d’intérêt des prêts immobiliers semblent se stabiliser dans l’est les meilleures offres connues sont ici de 4.6% sur 20 ans en fixe et 4.87% sur 30 ans. Bien sûr il faut faire jouer la concurrence et les courtiers semblent mieux réussir que le particulier qui s’adresse directement à sa banque.
Certains indicateurs sont de nature à calmer le jeu de la hausse :L’Euribor un indice de référence est passé de 4.9% à 4.3% et les émissions du Trésor Public de 4.45 à 14.10% depuis le début de l’année.
Avec une inflation qui semble repartir à la hausse, le coût du crédit s’en trouve lissé, cependant ne nous y trompons pas, les années 70/80 et leurs taux « négatifs » ne reviendront plus. L’Euro actuel n’est pas le Franc de l’époque.
La crise des années 91/92 a servie de leçon, celle des « subprimes » rend les banquiers très attentifs.
Dans le contexte actuel, c’est des taux de 40 à 50% de pré commercialisation qui sont nécessaires pour qu’un promoteur puisse véritablement lancer un programme de construction de logements neufs et les fonds propres exigés sont examinés à la loupe.
Les banques sont bien décidées à jouer leur rôle de « gendarme », tant au niveau des promoteurs que des acquéreurs.
L’investissement locatif est en panne, la rentabilité et les garanties en cas d’impayé viennent plomber les dossiers présentés. Les crédits relais dans un marché qui doit trouver de nouvelles marques sont plus difficiles à négocier.
Résultat, du coté de la BNP du Bas Rhin en 2007, l’activité de crédit à la pierre à reculée de 25 à 30%. En janvier 2008 c’est -17% par rapport à 2007 qui est annoncé ici où là.
Si la demande reste forte, faute de trouver de nouveaux équilibres l’on voit mal comment la situation pourra s’arranger rapidement….
C’est le thème des articles de cette semaine. Une grande partie du chiffre d’affaire de beaucoup de diagnostiqueurs dépend directement de la santé de ce secteur. Après des éléments de réflexions sur la situation actuelle, c’est sur le sujet du financement que nous allons nous attarder. Les éléments ayant servis à la rédaction des billets sur ce thème sont issus de la situation actuelle alsacienne. Si dans votre région il vous semble que le contexte est différent, n’hésitez pas à nous en faire part en cliquant sur le nouveau lien en bas de cette page.
2ème partie : Des taux d’intérêt qui avoisinent les 5%
Après une hausse de 2 points en 18 mois, les taux d’intérêt des prêts immobiliers semblent se stabiliser dans l’est les meilleures offres connues sont ici de 4.6% sur 20 ans en fixe et 4.87% sur 30 ans. Bien sûr il faut faire jouer la concurrence et les courtiers semblent mieux réussir que le particulier qui s’adresse directement à sa banque.
Certains indicateurs sont de nature à calmer le jeu de la hausse :L’Euribor un indice de référence est passé de 4.9% à 4.3% et les émissions du Trésor Public de 4.45 à 14.10% depuis le début de l’année.
Avec une inflation qui semble repartir à la hausse, le coût du crédit s’en trouve lissé, cependant ne nous y trompons pas, les années 70/80 et leurs taux « négatifs » ne reviendront plus. L’Euro actuel n’est pas le Franc de l’époque.
La crise des années 91/92 a servie de leçon, celle des « subprimes » rend les banquiers très attentifs.
Dans le contexte actuel, c’est des taux de 40 à 50% de pré commercialisation qui sont nécessaires pour qu’un promoteur puisse véritablement lancer un programme de construction de logements neufs et les fonds propres exigés sont examinés à la loupe.
Les banques sont bien décidées à jouer leur rôle de « gendarme », tant au niveau des promoteurs que des acquéreurs.
L’investissement locatif est en panne, la rentabilité et les garanties en cas d’impayé viennent plomber les dossiers présentés. Les crédits relais dans un marché qui doit trouver de nouvelles marques sont plus difficiles à négocier.
Résultat, du coté de la BNP du Bas Rhin en 2007, l’activité de crédit à la pierre à reculée de 25 à 30%. En janvier 2008 c’est -17% par rapport à 2007 qui est annoncé ici où là.
Si la demande reste forte, faute de trouver de nouveaux équilibres l’on voit mal comment la situation pourra s’arranger rapidement….
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