Communiqué: C le bouquet

11 Mai 2009 , Rédigé par Yvan MARZOLF Publié dans #LA VIE DE LA PROFESSION

aux rédactions des médias professionnels BTP & diagnostics immobiliers...

Madame, Monsieur,

Je vous prie de trouver ci joint le bilan C le Bouquet!

Il s'agit d'un point d'étape publié à mi printemps, au nom de notre collectif éphémère, C le Printemps!

vous noterez les principales information relatives à:

- la tenue d'université d'été du diagnostics immobiliers les 19 et 20 juin 2009 dans 7 lieux répartis sur le territoire français dont un lieu virtuel susceptible de regrouper les volontaires des pays d'outre mer.

- l'annonce de l'appel à la création d'un syndicat patronal des diagnostiqueurs immobiliers, avec comme nom de code C le Syndicat!

- le souhait de voir organisé un "Grenelle du Diagnostic Immobilier" début 2010.

Par ailleurs, un bilan des actualités du secteur professionnel du diagnostic immobilier est présenté en première partie.

Enfin, vous trouverez également copie de la lettre ouverte envoyée à Madame Christine Boutin relative à la crise que subit le secteur du diagnostic immobilier, d'autant que son statut social et fiscal n'est pas encore calibré à sa juste valeur...

Restant à votre disposition, je vous prie d'agréer mes salutations les plus cordiales.

Luc Baillet
Président de RésoA+
Animateur du collectif C le Printemps!

Voir aussi: la lettre à Mme la Ministre et Le point sur les Actions.

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Eric LAVALLÉ

11/05/2009 08:28

Bonjour, enfin des propos qui vont dans le bon sens, puissent'ils être écoutés,en ce momment dans la période que l'on connais, la concurence est rude et plus soucieuse de réaliser du chiffre que de remplir une mission correcte, la course au moin disant tout en sachant que le prestation sera balclée ne choque pas les commanditaires (agences immobilières, notaires ou particuliers),cette négligence de leur part associée aux pratiques de certains diagnostiqueurs (commission,remises soit disant commerciales (du style -30%pour une sucession...) et le peu de connaissance technique de ces derniers, laissent peu de chance à ceux qui ont compris ou qui croient encore aux valeurs de notre nouvelles profession.

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