C’est ce que l’on peut appeler « un joli coup de communication » ou la reconnaissance de la « juste approche du marché » selon l’état d’esprit dans lequel vous vous trouvez quand vous me lirez.

Il existe en France plusieurs associations regroupant les Maires et diffusant de l’information. Parmi elles, l'ANDAM (Association Nationale des Directeurs d’Associations de Maires). Cette dernière diffuse tous les deux mois un bulletin d’information départemental à l’ensemble de ses membres (Mairies et Conseils Généraux). Outre les informations générales, il y a des dossiers spéciaux, sous forme de « Fiche pratique pré perforée », celle concernant la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) c’est l’A.F.I.A. qui l’a rédigée. (voir le document)

Une belle reconnaissance pour tous ceux qui sont déjà formés et qui perdront moins de temps pour se présenter. Le marché de la QAI dans les écoles maternelles et les crèches laisse déjà craindre certains dérapages qu’il nous faut pouvoir faire cesser si l’on ne veut pas voir les prix s’effondrer et voir reléguer au second plan, l’objectif fixé : La santé.

A coté des ERP qui semblent bien être l’objectif visé par la majorité des nouveaux arrivants, il ne faut pas perdre de vue la situation de la QAI dans les autres lieux de vie que ceux de nos petits enfants. Celle des bureaux, des usines et des logements.

L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) faisait état récemment de 7 millions de morts dans le monde dont 4.3 du à la seule QAI et l’OQAI (Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur –Français) de préciser le chiffre de 40.000 décès rien que pour la France et 19 milliards de coût prévisionnel minimum à budgétiser pour soigner. Les enjeux de la QAI sur la santé ne sont pas neutres d’un point de vue financier.

Air extérieur dégradé, maisons sur isolées, nouveaux matériaux pas toujours meilleur marchés, nouveaux équipements, manque de gens compétent, changement de comportement, les causes d’un air souvent multi pollué sont nombreuses et variés. Elles requièrent une approche transversale, celle là même à laquelle l’AFIA est capable de vous initier.

Le reste c’est une question d’accompagnement et de réseau pour ne jamais laisser un client sans solution quand viendra le temps des conseils et celui de savoir qui va payer l’addition.

A coté de la santé, à coté de l’image « scientifique » qui tire vers le haut celle du « diagnostic », à coté de l’intérêt financier et des facilités d’accessibilité, le ou plutôt les marchés de la QAI offrent (tout comme du reste ceux de l’infiltrométrie et de la thermographie infrarouge) en effet une particularité qui n’existait pas dans les diagnostics que vous effectuiez avant : En cas de mauvais résultats la facture n’incombe pas toujours au propriétaire ou à l’exploitant. Point de rosé, mauvaise conception, problème d'étanchéité dans les circuits de ventilation, débit d'extraction ou d'insuflation insufisant .... autant de raisons de mettre en cause et faire jouer l'assurance du mauvais concepteur et/ou exécutant.

Une belle vitrine QAI dans les ERP, de quoi relancer nos membres dans les collectivités mais aussi de stimuler pourquoi pas de nouvelles vocations dans les départements ou les membres de l’AFIA ne sont pas encore présents.

Pour vous lancer, il reste 2 sessions avant l’été. Si vous êtes intéressé cliquez ici ou venez vous renseigner.

Communiqué www.afia.pro

AFIA : Une belle vitrine et de beaux marchés avant l’été